– Affaires
L'article décrit la relation de dépendance dans laquelle l'absence de ces nouveaux mécanismes plonge les individus : « Une fois que les entrepreneurs comme M. Stairs ont atteint leur limite de crédit et épuisé la générosité de leur famille et amis, voici ce qu'il leur reste à faire pour lever de l'argent et amener leur entreprise au prochain niveau : de la paperasse. »
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Mettre fin ensemble aux lois anti-sociofinancement
En l'absence d'un organisme national de réglementation des valeurs mobilières, le système canadien rend pratiquement impossible le lancement d'une initiative pancanadienne.
Alors que le gouvernement américain, grâce au « JOBS Act » du Président Obama pour la création d'entreprises, accélère la cadence, les plateformes de ce côté de la frontière peinent à croître au-delà de leurs racines hyperlocales. Le quotidien français Le Monde rapporte qu'en 2011, 1,15 milliards de dollars avaient été amassés aux États-Unis par l'entremise des plateformes de sociofinancement. Mille millions !
Dans un récent article du Globe and Mail, Gary Stairs, président de Red Hot Learning Inc., à Fredericton, au Nouveau Brunswick, considère comme « paternalistes » les arguments contre le sociofinancement.
L'article décrit la relation de dépendance dans laquelle l'absence de ces nouveaux mécanismes plonge les individus : « Une fois que les entrepreneurs comme M. Stairs ont atteint leur limite de crédit et épuisé la générosité de leur famille et amis, voici ce qu'il leur reste à faire pour lever de l'argent et amener leur entreprise au prochain niveau : de la paperasse. »
Peut-être devrions-nous lancer un mouvement collectif, lever des fonds pour sociofinancer un lobby visant à transformer les lois pour faciliter le sociofinancement…